On
pourrait aussi jouir d'un meilleur confort au
travail grâce à une plus grande souplesse dans
les phases de repos. À présent il y a en France
onze jours fériés où personne ne peut
travailler. Mais si on les fusionnait avec les
congés payés, de l'ordre d'une trentaine de
jours par an, cela en ferait une quarantaine. Si
on partait du principe qu'il n'y a pas de
fermeture autre que celle du week-end, seul
arrêt de travail obligé, on disposerait alors d'un
lot de congés de quarante jours au lieu de
trente actuellement. Ce qui reviendrait
pratiquement au même pour la direction qui n'aurait
peut-être qu'à exiger éventuellement la
présence d'un quota minimum de travailleurs aux
anciens jours fériés alors chômés.
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